Du refuge de la Lavey à Pré-Clot par le lac des Fétoules
Lac des Fétoules.
Lac des Fétoules. - © Parc national des Ecrins - Thierry Maillet
Saint-Christophe-en-Oisans

3. Du refuge de la Lavey à Pré-Clot par le lac des Fétoules

Lac et glacier
Point de vue
Sommet
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Pour se mettre en jambes rien de tel qu'une montée au lac des Fétoules qui domine le vallon de la Lavey avant de plonger vers le Vénéon et de retrouver l'adret ensoleillé.

Au-dessus du refuge de la Lavey, le lac des Fétoules offre au randonneur, heureux de s’y reposer, une vue ouverte sur tout le vallon et ses glaciers. L’ambiance est à la haute montagne, le silence règne en maître, la vie se fait discrète. Quelques heures plus tard, plus bas, à la Raja, l’ambiance a déjà radicalement changée. On renoue avec une montagne autrefois habitée, ses ruines et ses croyances au cœur d’une belle forêt aux essences variées. La nuit sera au gîte des Arias à Pré-Clot et ses spécialités de montagne.


Description

Devant le refuge de la Lavey, partir à gauche vers le lac des Fétoules (panneau) et franchir le petit pont de bois.
  1. Remonter en direction du haut du vallon sur 200 m environ et prendre à gauche toujours vers le lac de Fétoules (panneau). Le sentier est étroit et grimpe parfois rudement jusqu’au point le plus haut de la journée à 2 323 m d’altitude. Passage un peu aérien. Suivre les cairns et bien suivre le balisage jaune jusqu’au petit lac des Fétoules déjà bien visible.
  2. Continuer de descendre jusqu'au vallon principal, rejoindre le sentier principal et prendre à droite. La descente est soutenue par endroits.
    Passer devant l'oratoire et les maisons de la Raja puis continuer sur le large sentier qui serpente jusqu’au pont en pierre sur le Vénéon.
  3. Remonter en face jusqu'au parking de Champhorent, le dépasser et traverser la route pour rejoindre le hameau de Champébran (panneaux). De Champébran, poursuivre tout droit jusqu'à Pré-Clot par un bon chemin que l’on sent chargé d’histoire.
  • Départ : refuge de la Lavey
  • Arrivée : Pré-Clot
  • Communes traversées : Saint-Christophe-en-Oisans

Les 21 patrimoines à découvrir

  • Le refuge de la Lavey
    Le refuge de la Lavey - Bertrand Bodin
    Refuge

    Le refuge de la Lavey

    C'est un refuge du massif des Ecrins situé à 1 797 m d'altitude dans le vallon de la Lavey, qui donne sur la vallée du Vénéon.
    En 1881, la section de l'Isère du CAF (Club Alpin Français) achète deux bâtiments au hameau de la Lavey. Le refuge a été réaménagé et surélevé d'un étage en 1949 (24 places) et agrandi en 1972. Il compte actuellement 44 couchages. Ce refuge donne accès au lac des Bèches, au lac des Rouies et à celui de la Muande, celui-ci en cours de formation, suite au retrait du glacier du fond de La Muande. C'est également le point de départ pour la Tête des Fétoules, les Rouies, l'Olan, la pointe Maximin, l'aiguille d'Olan ou l'aiguille des Arias et pour passer la brêche de l'Olan vers le Valjouffrey. De même par le col de la Lavey vers le vallon du Chardon. Durant l'hiver 2011, un éboulement spectaculaire, encore visible aujourd'hui, de plusieurs milliers de m3 de roche a eu lieu à proximité du refuge. Ce refuge, lui-même objectif d'une très belle randonnée, est réputé pour sa cuisine.

    A noter, un joli site de blocs d'escalade autour du refuge !

  • Grenouille rousse dans le Vénéon
    Grenouille rousse dans le Vénéon - Ludovic Imbertis
    Faune

    La grenouille rousse

    Chaque année, fin mars, début avril, lorsque la petite mare située devant le refuge de la Lavey est en eau, celle-ci accueille une quarantaine de grenouilles rousses venant se reproduire. Parmi cette quarantaine d’amphibiens, une partie hiberne dans la vase de la mare tandis que les autres arrivent dans celle-ci en marchant sur la neige. Cette grenouille fait partie des « grenouilles brunes » et possède donc à ce titre, comme sa cousine de plaine, un masque brun qui va de l'arrière du tympan jusqu'à l'avant de l’œil. En Europe, la grenouille rousse est considérée comme l'espèce d'amphibien atteignant les plus hautes altitudes. La ponte de cette grenouille se présente sous forme d’une boule compacte pouvant contenir plusieurs centaines d’œufs flottant ou posés au fond de la mare. Ce nombre d’œufs très important est nécessaire pour assurer la survie de l’espèce car très peu d’entre eux atteindront l’état adulte.

  • Glacier et lac de la Muande
    Glacier et lac de la Muande - © Parc national des Ecrins - Martial Bouvier
    Point de vue

    Vue sur le fond de la Muande

    Le lac de la Muande est un lac glaciaire à 2 380 m dans le vallon de la Lavey, qui débouche sur celui du Vénéon.
    Il est apparu au début des années 1990, du fait du recul du glacier du Fond de la Muande. L'absence de gorge de raccordement lui permet d'occuper le petit plan situé en arrière du gradin de confluence.
    Le lac est encore en cours d'apparition faisant du site une sorte de laboratoire où la nature exerce sa puissante créativité.

     

  • Saxifrage à feuilles opposées
    Saxifrage à feuilles opposées - Cédric Dentant - Parc national des Ecrins
    Flore

    La saxifrage à feuilles opposées

    Saxifraga oppositifolia
    Cette saxifrage se distingue par ses fleurs d'un beau rose et ses feuilles vert sombre. Elle possède le record d'altitude pour les Alpes françaises : à 4070 m, dans la face sud de la Barre des Écrins (4102 m), et plus largement pour l'ensemble des Alpes, à 4504 m, dans la face sud du Dom des Mischabel (4545 m, Alpes suisses).
  • Arabette des Alpes
    Arabette des Alpes - Cédric Dentant - Parc national des Ecrins
    Flore

    L’arabette des Alpes

    Arabis alpina
    Voilà une plante discrète dont le nom présente toutefois une certaine singularité : il renvoie au mot « arabe », en lien avec l'époque des croisades. L'origine de ce nom se perd ainsi dans des temps assez lointains. On sait juste qu'il est lié à une petite plante proche de celle-ci, oublié depuis dans le lot des innombrables récoltes rapportées par les croisés.
  • Saxifrage musquée
    Saxifrage musquée - Cédric Dentant - Parc national des Ecrins
    Flore

    La saxifrage musquée

    Saxifraga moschata
    Cette saxifrage, parsemée de petites glandes, est très collante au toucher (pas assez toutefois pour vous retenir d’une chute). Ses fleurs sont d’une couleur vert jaunâtre, relativement discrètes, tandis que ses feuilles sont vaguement découpées. C’est une des plantes les plus souvent notées dans les parois et sur les sommets des Écrins.
  • Saxifrage fausse mousse
    Saxifrage fausse mousse - Cédric Dentant - Parc national des Ecrins
    Flore

    La saxifrage fausse mousse

    Saxifraga bryoides
    Les tapis denses que forme cette saxifrage feraient assurément penser à de la mousse s'il n'était la beauté de ses fleurs. Contrairement aux mousses – et comme toutes les plantes vasculaires – la saxifrage fausse mousse puise l'eau par ses racines. Ces dernières, pour échapper au gel, sont à la fois épaisses et profondément ancrées dans la roche.
  • Drave douteuse
    Drave douteuse - Cédric Dentant - Parc national des Ecrins
    Flore

    La drave douteuse

    Draba dubia
    Cette plante est une des plus petites représentantes, en altitude, de la famille des Brassicacées. C’est à cette dernière qu’appartiennent choux, radis, moutarde et autre colza. Ses membres se caractérisent tous par des fleurs à 4 pétales, disposés en croix. Ceux de la drave douteuse sont blancs. Ses feuilles sont quant à elles constellées de petits poils étoilés.
  • Génépi jaune
    Génépi jaune - Cyril Coursier - Parc national des Ecrins
    Flore

    Le génépi jaune

    Artemisia umbelliformis
    On ne présente plus cette plante duveteuse, dégageant une forte odeur épicée. Lointaine descendante de plantes originaires des steppes asiatiques, le génépi est une armoise, comme l'absinthe. Et comme cette dernière, elle porte en elle une substance neurotoxique : la thuyone. Cette molécule rendait fou les consommateurs invétérés de la fée verte. La concentration est moindre dans le génépi, mais vos neurones vous remercieront d'une consommation modérée.
  • Androsace du Dauphiné
    Androsace du Dauphiné - Mireille Coulon - Parc national des Ecrins
    Flore

    L'androsace du Dauphiné

    Androsace delphinensis
    Ce n'est que tout récemment que cette belle plante en coussin de haute altitude a été décrite pour la science (2021). Endémique de l’Oisans, les curieux verront avec une loupe que les poils des feuilles de cette espèce sont pour partie fourchus, parfois en forme de « bois de cerf ». Et oui, toutes les plantes ne s’offrent pas toujours au premier regard !
  • La Tête des Fétoules
    La Tête des Fétoules - Thierry Maillet - Parc national des Ecrins
    Sommet

    Vue sur la Tête des Fétoules

    La Tête des Fétoules, sommet du massif des Écrins, culmine à 3459 mètres d'altitude. Celle-ci appartient, avec la Tête de l'Etret entre autres, à une série de sommets qui séparent le vallon des Étages (à l'est) du vallon de la Lavey (à l'ouest).
    La première ascension a été réalisée le 29 août 1876 par Emmanuel Boileau de Castelmau avec Pierre Gaspard et son fils.
  • Marguerite des Alpes
    Marguerite des Alpes - Cédric Dentant - Parc national des Ecrins
    Flore

    La marguerite des Alpes

    Leucanthemopsis alpina
    La marguerite des Alpes est inconfondable. Elle aime les moraines, éboulis et parois d’altitude. Ses feuilles sont un bon exemple d’adaptation à l’altitude : petites mais épaisses, elles captent toute la lumière nécessaire pour produire le sucre de la plante tout en limitant ses pertes en eau et en la protégeant de l’impact des UV sur ses tissus. Efficaces !
  • Linaire des Alpes
    Linaire des Alpes - Mireille Coulon - Parc national des Ecrins
    Flore

    La linaire alpine

    Linaria alpina
    La forme en gueule de loup et les couleurs criardes de sa fleur (orange et bleu) la rendent immanquable. Ce côté clinquant sert, comme toujours dans le vivant, à se faire remarquer… Et ce dans l'inaltérable optique de se reproduire ! Présentement, les pigments serviront à séduire les insectes, qui se chargeront de transporter bien malgré eux le pollen de cette belle.
  • Eritriche nain
    Eritriche nain - Marie-Geneviève Nicolas - Parc national des Ecrins
    Flore

    L'éritriche nain (ou roi des Alpes)

    Eritrichium nanum
    Si vous l’avez manqué avant (il est présent ça et là plus bas), le voilà, le fameux roi des Alpes. Ses fleurs sont d’un bleu éclatant, tandis que sa tige et ses feuilles sont densément velues. Cette pilosité lui assure un manteau protecteur contre le froid ou l'extrême sécheresse. Le roi des Alpes est une des espèces qui est restée accrochée aux sommets des montagnes pendant toute la période glaciaire.
  • Lac des Fétoules
    Lac des Fétoules - PNE
    Lac

    Lac des Fétoules

    Le Lac des Fétoules est un tout petit lac d’environ 300 m² situé à 2249 m d’altitude, au pied de la tête des Fétoules (3459m).
    Depuis le lac, le panorama s'étend sur le cirque de l'Aiguille d'Olan, l’Aiguilles d'Arias, en face, l’Aiguille du Plat de la Selle (3596m), sur la droite et juste au-dessus, la tête des Fétoules et le glacier des Fétoules.
    Ce petit lac est bordé de pelouses.
  • Vaccinium myrtillus
    Vaccinium myrtillus - © Parc national des Ecrins - Christophe Albert
    Flore

    La myrtille commune

    Tout comme le raisin d'ours, la canneberge, l'airelle rouge et l'airelle à petites feuilles, la myrtille commune appartient à la famille des Ericacées. Il s'agit d'un sous-arbrisseau touffu de 20 à 60 cm de haut dont les petites feuilles sont souples, alternes, ovales et finement dentées. Dès le mois d'août, apparaîtront des baies comestibles à la pulpe rouge violacé, d'où son appellation populaire de « gueule noire », qui donnent une belle couleur rouge aux pentes des prairies subalpines à la fin de l’été. Elle peut être voisine avec l'airelle à petites feuilles (Vaccinium myrtillus) dont la chair est blanche et les feuilles non dentées.
    La cueillette de cette baie est soumise à une réglementation particulière : Dans le cœur du parc national des Ecrins, elle est limitée à 1 kg par personne et par jour et l'utilisation du peigne est interdite.
    Dans l'aire d'adhésion du parc national des Ecrins et dans tout le département de l'Isère : 1 kg par personne et par jour et l'utilisation du peigne interdite avant le 15 août.

  • Oratoire de la Raja
    Oratoire de la Raja - Parc national des Ecrins - Thierry Maillet
    Petit patrimoine

    Oratoire de la Vierge à l'Enfant de la Raja.

    En montagne où les hameaux sont parfois isolés les uns des autres et trop petits pour avoir une chapelle, les oratoires sont nombreux. Généralement petits, construits en pierre locale avec en leur cœur une niche où est déposée une statuette, une plaque ou une image pieuse, ils constituent un élément important de la vie religieuse. Lieu de culte de proximité, ils sont souvent dédiés à la vierge ou à un saint. Ils deviennent alors un but de procession ou de fête votive pour la population locale.

  • Torrent de montagne
    Torrent de montagne - © Parc national des Ecrins - Thierry Maillet
    Eau

    Le torrent de montagne

    Les torrents de montagne sont caractérisés par une pente souvent forte et un cours tumultueux. Ici dans le Vénéon, du fait de son brassage continu, l'eau est très oxygénée et favorable à certaines espèces animales (truite fario, invertébrés aquatiques…) adaptées aux conditions écologiques de ces écosystèmes (même la prise de glace !). Les torrents sont aussi un grand facteur d'érosion de part leur rôle dans le concassage et le transport de sédiments depuis les hauts bassins versants jusqu'aux grands fleuves. Milieux très fragiles et menacés, notamment par l'aménagement, ils font partie des écosystèmes à protéger !

  • Cascade de la Lavey
    Cascade de la Lavey - Daniel Roche - PNE
    Eau

    Cascade de la Lavey

    Le vallon de La Lavey est parcourue par le torrent de la Muande. Cent cinquante mètres en amont de la confluence de ce torrent avec celui du Vénéon, le vallon se termine par une gorge et par la cascade de La Lavey.
  • Pont de Pierre sur le Vénéon
    Pont de Pierre sur le Vénéon - Parc national des Ecrins - Thierry Maillet
    Petit patrimoine

    Pont du Vénéon

    Franchissant le Vénéon, ce superbe pont de pierres en dos d'âne date du XVIIe siècle. Il est un exemple du savoir-faire des anciens et le fait de sa mise en œuvre considérable permet de concevoir l'importance de ce vallon. Ce pont fait aussi partie des témoignages bâtis de l'occupation humaine de la vallée de la Lavey autrefois.
    La voûte de ce pont a été restaurée en 1972. L'ouvrage a été décrépi et l'ensemble des joints ont été repris. Au franchissement du pont, remarquer la couleur de l'eau du Vénéon qui provient de fines particules en suspension issues de l'érosion des glaciers du Haut-Vénéon et également de la silice dissoute, provenant du feldspath contenu dans les roches cristallines.

  • Le glacier et la Tête des Fétoules
    Le glacier et la Tête des Fétoules - Thierry Maillet - Parc national des Ecrins
    Sommet

    La Tête des Fétoules

    La Tête des Fétoules, sommet du massif des Écrins, culmine à 3 459 mètres d'altitude. Celle-ci appartient, avec la Tête de l'Etret entre autres, à une série de sommets qui séparent le vallon des Étages (à l'est) du vallon de la Lavey (à l'ouest).
    La première ascension a été réalisée le 29 août 1876 par Emmanuel Boileau de Castelmau avec Pierre Gaspard et son fils.


Profil altimétrique


Recommandations

En cas de pluie, les pierres peuvent être très glissantes, prudence à la descente.
En cas de météo trop mauvaise, ne pas monter au lac des Fétoules mais descendre directement à la Raja par le sentier en rive droite du torrent de la Lavey.

Pour les plus courageux, la montée au lac des Fétoules s’impose car elle permet de profiter du panorama du vallon de la Lavey. Pour les autres, redescendre depuis le refuge le sentier en direction de Champhorent qui emprunte successivement les rives gauche et droite du vallon et passe par le hameau de la Raja.

En coeur de parc
Le Parc national est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est nécessaire de connaître pour préparer son séjour.


Lieux de renseignement

Maison du Parc de l’Oisans

Rue Gambetta, 38520 Le Bourg d'Oisans

http://www.ecrins-parcnational.fr/oisans@ecrins-parcnational.fr04 76 80 00 51

Présentation en image des richesses naturelles de l'Oisans et des métiers de montagne. Information, documentation sur le Parc, projections, coin lecture pour les enfants. Accessible aux personnes à mobilité réduite. Entrée libre. Toutes les animations du Parc sont gratuites sauf mention contraire.

En savoir plus

Office de tourisme de Saint-Christophe-en-Oisans / La Bérarde

, 38520 Saint-Christophe-en-Oisans - La Bérarde

http://www.berarde.com/infos@berarde.com04 76 80 50 01

Du 01/01 au 31/05, tous les jours de 14h à 17h. Fermetures exceptionnelles les 1er janvier, Lundi de Pâques, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre. Durant les vacances scolaires sauf le samedi, et les jours fériés. Ouvert pour l'Ascension et Pentecôte.

Du 01/06 au 30/06, tous les jours. Fermetures exceptionnelles les 1er janvier, Lundi de Pâques, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre. De 10h à 12h et de 15h à 18h.

Du 01/07 au 31/08, tous les jours. Fermetures exceptionnelles les 1er janvier, Lundi de Pâques, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre. De 9h30 à 12h30 et de 15h à 18h.

Du 01/09 au 30/09, tous les jours. Fermetures exceptionnelles les 1er janvier, Lundi de Pâques, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre. De 10h à 12h et de 15h à 18h.

Du 01/10 au 31/12, tous les jours de 14h à 17h.

Fermetures exceptionnelles les jours fériés. Durant les vacances scolaires sauf le samedi, les jours fériés et la semaine de Noël.

En savoir plus

Source

Parc national des Ecrinshttps://www.ecrins-parcnational.fr

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