Du refuge du Pelvoux à Ailefroide, par la Bosse de Clapouse
Sur la passerelle suspendue de Clapouse
Sur la passerelle suspendue de Clapouse - Thierry Maillet - Parc national des Ecrins
Vallouise-Pelvoux

3. Du refuge du Pelvoux à Ailefroide, par la Bosse de Clapouse

Faune
Point de vue
Refuge
Embarquer cet élément afin d'y avoir accès hors connexion
Une agréable étape pour rejoindre Ailefroide au bord du torrent de Celse Nière, avec une petite incartade ombragée par la Bosse de Calpouse et sa belle passerelle.
Depuis le refuge à 2700m d'altitude, la journée commence par un moment de tranquilité face aux hauts sommets et à la Vallée de Celse Nière. Le retour, permettra de prendre de la hauteur sur la Bosse de Clapouse dans la forêt, puis de redescendre au hameau d'Ailefroide avant l'ascension du lendemain vers le glacier Blanc.

Description

Du refuge du Pelvoux, descendre par le sentier de la veille, en lacets dans des pentes d’herbes et de rochers.
  1. A l’intersection avec le sentier du refuge du Sélé, prendre le sentier en lacets à gauche, puis poursuivre le long du torrent de Celse Nière.
  2. Emprunter la passerelle pour rejoindre la Bosse de Clapouse en A/R.
  3. Retraverser la passerelle pour reprendre la descente à droite vers Ailefroide.
  • Départ : Refuge du Pelvoux
  • Arrivée : Ailefroide
  • Communes traversées : Vallouise-Pelvoux

Les 32 patrimoines à découvrir

  • Le refuge du Pelvoux
    Le refuge du Pelvoux - Christophe Albert - PNE
    Refuge

    Le Lemercier en bois et le refuge du Pelvoux

    En 1891, 4 tonnes de bois sont acheminées par le train jusqu'à L'Argentière avant d'être transportées par voiture puis à dos de mulets jusqu'à l'ancien abri Puiseux. Les matériaux sont alors tirés par des hommes sur des traîneaux jusqu'à l'emplacement prévu. Utilisé durant 70 ans, ce refuge servira de débarras aux différents gardiens et comme logement pour leurs aides après 1962. En effet, durant l'été précédent, 145 tonnes de matériaux ont cette fois été héliportées et ont permis la construction du refuge de Pelvoux. Il est inauguré le 15 juillet 1962 en présence de Maurice Herzog, alors haut-commissaire à la Jeunesse et aux Sports.

  • Histoire

    Les géographes, pionniers de l’alpinisme

    Le 30 juillet 1828, le capitaine Adrien Durand accompagné de deux chasseurs de chamois, Jacques-Etienne Mathéoud et Alexis Liothard, est le premier à gravir le Pelvoux. Il ne cherche pas à tirer gloire de ce qui est tout de même une première et un exploit : le capitaine Durand est en « mission » pour la science et l'armée. En août, il remontera pour construire un signal en vue d'un projet de réseau trigonométrique. Au début du 20e siècle, Paul Helbronner, alpiniste géodésien auteur de la « Description détaillée des Alpes françaises », parcourra aussi ces territoires d'altitude pour des besoins de triangulation.

  • Miramelle des frimas
    Miramelle des frimas - Christophe Albert - PNE
    Faune

    Miramelle des frimas

    La miramelle des frimas fait partie des criquets les plus représentatifs de l'entomofaune alpine de haute altitude. C'est une espèce orophile dont l'habitat se situe de l'étage alpin jusqu'à la limite des névés. Sa couleur plus ou moins bariolée est très variable, mais son corps est toujours recouvert de poils, conditions météo obligent ! L'intérieur de ses pattes est rouge, ses élytres sont distinctement effilés à l'arrière.

  • Orpin des infidèles
    Orpin des infidèles - PNE
    Flore

    Orpin des infidèles

    Il est des plantes qui se traînent à vos pieds et d'autres qui s'élèvent vers les cieux. L'orpin des infidèles fait partie des premières. Ses feuilles épaisses forment de petites rosettes éparses entre les blocs de rochers du grand éboulis sur lequel serpente le sentier. Ses nombreuses petites fleurs d'un rouge vineux sont rassemblées au sommet de la tige.

  • Chamois mâle, vallon de Celse Nière
    Chamois mâle, vallon de Celse Nière - Christophe Albert - PNE
    Faune

    Chamois

    Animal emblématique des Alpes, le chamois est en fait partout chez lui dans la montagne et notamment dans le vallon de Celse Nière. Il y est protégé depuis longtemps et ce, bien avant la création du Parc national des Écrins. Porteur de cornes noires et croches, ce proche cousin des lointaines antilopes est doté d'un odorat et d'une ouïe bien développés qui rendent son approche difficile. Chèvres et chevreaux aiment à se regrouper en hardes tandis que les boucs restent isolés jusqu'à la saison du rut qui a lieu en octobre-novembre.

  • Flore

    Eboulis

    Pour le botaniste, les éboulis sont une mosaïque de milieux bien contrastés et finement enchevêtrés. Des plantes issues des milieux environnants se partagent ce territoire, profitant des moindres îlots d'humus. On distingue les éboulis grossiers, définis par leur stabilité, des éboulis fins qui sont mouvants en raison des éléments les plus petits (graviers, sables, limons).

  • L'abri Puiseux
    L'abri Puiseux - Claire Gondre - PNE
    Histoire

    L'abri Puiseux et le refuge de Provence

    A 2229 m d'altitude, une cavité naturelle, située sous un grand bloc rocheux, à environ 1 h 30 d'Ailefroide, est aménagée en 1875 par le Club Alpin Français. Ce dernier édifie deux ans plus tard sur le plateau du Clot de l'Homme (2700 m) le refuge de Provence, ainsi appelé en raison des troupeaux de la Crau qui pâturaient à l'époque sur ces hauteurs. Situé plus haut sur l'itinéraire du Pelvoux, il est beaucoup plus intéressant pour les alpinistes que l'abri Puiseux. Cependant, il ne sera pas épargné par les intempéries.

  • Jeune merle à plastron
    Jeune merle à plastron - Mireille Coulon - PNE
    Faune

    Merle à plastron

    Il s'identifie facilement car, s'il endosse le plumage du merle noir, il s'en distingue par sa grosse bavette blanche sur la poitrine et des liserés clairs sur les plumes des ailes et du ventre. Ce merle de montagne, farouche, au vol rapide, habite les lisières des forêts de mélèzes, de pins sylvestres, d'épicéas et de pins cembros, de 1000 à 2500 m d'altitude.

  • Gentiane ponctuée
    Gentiane ponctuée - Christophe Albert - PNE
    Flore

    Gentiane ponctuée

    La gentiane ponctuée, tout comme sa grande sœur la gentiane jaune, se reconnaît à son port altier et à ses fleurs jaunes. Ces dernières présentent toutefois la différence d'être tachetées de marron et situées à l'aisselle des feuilles. Poussant par petits groupes, cette gentiane s'étend des Alpes aux Carpates et colonise les éboulis en compagnie de toutes les espèces amatrices de pierres et d'espace.

  • Polystic en forme de lance
    Polystic en forme de lance - Bernard Nicollet - PNE
    Flore

    Polystic en forme de lance

    Cette fougère élancée, raide et coriace, affectionne particulièrement les éboulis grossiers où elle prend pied dans les anfractuosités fraîches que les blocs et rochers entremêlés lui ménagent. Au Moyen Âge, elle était considérée comme une plante particulièrement bienfaisante pour l'homme. Capable de guérir toutes les affections, elle était également nantie d'un véritable caractère divin : là où elle pousse, la foudre et le tonnerre ne peuvent frapper, et le Diable lui-même est mis en déroute.

  • Apollon sur rhapontique scarieux
    Apollon sur rhapontique scarieux - Cyril Coursier - PNE
    Faune

    Apollon

    L'apollon est un grand papillon protégé, d'une blancheur translucide parsemée de taches noires avec quatre ocelles d'un rouge lumineux. Il a besoin de la chaleur du soleil pour voler. Qu'un nuage passe et il se pose sur un chardon ou quelque centaurée dont il appréciera le nectar. Fermeture des milieux et hivers anormalement chauds ont entraîné sa disparition de certaines régions françaises. A défaut, il semble élire domicile dans les éboulis rebelles à tout boisement dense.

  • Les couleurs du mélézin
    Les couleurs du mélézin - Christophe Albert - PNE
    Flore

    Mélézin

    C'est une forêt accueillante qui change de parure selon les saisons : d'un doux vert au printemps au roux d'or en automne, elle est gracile et dépouillée lorsque la neige recouvre la vallée. Toujours lumineux, le mélézin accueille troupeaux et randonneurs, tamise pour eux la lumière et encourage herbage et riche floraison.

  • Vératre blanc
    Vératre blanc - PNE
    Flore

    Vératre blanc

    Le vératre blanc est un végétal qui semble entièrement vert, mais on distingue ses fleurs d'un blanc verdâtre dès que l'on s'en approche. Ses grandes et larges feuilles alternées le long de la tige permettent de le différencier de la gentiane dont les feuilles sont opposées. Il est impératif pour les amateurs d'apéritifs « maison » de faire la différence car si les racines de la gentiane servent à faire un breuvage apprécié des montagnards, celles du vératre sont toxiques.

  • Petite tortue sur rhododendron ferrugineux
    Petite tortue sur rhododendron ferrugineux - Christophe Albert - PNE
    Faune

    Petite tortue

    Cet animal, qui n'a rien d'un reptile « carapacé », arbore des atours plutôt flamboyants. Le dessus de ses ailes orange vif, incrustées d'ébène et ourlées de lunules bleues cernées de noir, compose sa parure. Précoce, la petite tortue est le premier papillon à fréquenter les fleurs à peine sorties de la neige sur les versants les mieux exposés des montagnes.

  • Epéorus sur la neige
    Epéorus sur la neige - Christophe Albert - PNE
    Faune

    Epéorus

    Ce bel insecte vole au ras de l'eau pour pondre des œufs qui se transformeront en larves aquatiques. Ces dernières vivront jusqu'à deux ans dans le ruisseau avant de se métamorphoser en un insecte parfait, l'imago qui, incapable de se nourrir, ne vivra que quelques jours mais assurera sa descendance.

  • Rhododendron
    Rhododendron - Mireille Coulon - PNE
    Flore

    Rhododendron

    Le rhododendron, arbrisseau aux fleurs d'un rose carmin très vif, est souvent escorté de myrtilles, d'aulnes verts et autres petits saules. Il est caractéristique de la zone de combat. Situé entre la limite de la forêt et les derniers arbres, cet espace de transition est particulièrement prisé par le tétras lyre pour nicher et se nourrir en toute sérénité.

  • Epeorus sur la neige
    Epeorus sur la neige - Christophe Albert - PNE
    Faune

    Epeorus

    Ce bel insecte vole au ras de l'eau pour pondre des œufs qui se transformeront en larves aquatiques. Ces dernières vivront jusqu'à deux ans dans le ruisseau avant de se métamorphoser en un insecte parfait, l'imago qui, incapable de se nourrir, ne vivra que quelques jours mais assurera sa descendance.

  • Vératre blanc
    Vératre blanc - PNE
    Flore

    Vératre blanc

    Le vératre blanc est un végétal qui semble entièrement vert, mais on distingue ses fleurs d'un blanc verdâtre dès que l'on s'en approche. Ses grandes et larges feuilles alternées le long de la tige permettent de le différencier de la gentiane dont les feuilles sont opposées. Il est impératif pour les amateurs d'apéritifs « maison » de faire la différence car si les racines de la gentiane servent à faire un breuvage apprécié des montagnards, celles du vératre sont toxiques.

  • Petite tortue sur rhododendron ferrugineux
    Petite tortue sur rhododendron ferrugineux - Christophe Albert - PNE
    Faune

    Petite tortue

    Cet animal, qui n'a rien d'un reptile « carapacé », arbore des atours plutôt flamboyants. Le dessus de ses ailes orange vif, incrustées d'ébène et ourlées de lunules bleues cernées de noir, compose sa parure. Précoce, la petite tortue est le premier papillon à fréquenter les fleurs à peine sorties de la neige sur les versants les mieux exposés des montagnes.

  • Tichodrome échelette femelle
    Tichodrome échelette femelle - Mireille Coulon - PNE
    Faune

    Tichodrome échelette

    Le tichodrome échelette inspecte la falaise en s'accrochant à la paroi grâce à ses pattes munies de longs doigts aux griffes efficaces. Son long bec effilé lui permet de capturer les insectes les mieux dissimulés dans les plus infimes fissures du rocher. Cette aptitude n'a d'égal que son plumage d'un rouge profond qui, lors de ses acrobaties aériennes, lui confère une allure de papillon.

  • Les couleurs du mélézin
    Les couleurs du mélézin - Christophe Albert - PNE
    Flore

    Mélézin

    C'est une forêt accueillante qui change de parure selon les saisons : d'un doux vert au printemps au roux d'or en automne, elle est gracile et dépouillée lorsque la neige recouvre la vallée. Toujours lumineux, le mélézin accueille troupeaux et randonneurs, tamise pour eux la lumière et encourage herbage et riche floraison.

  • Jeune merle à plastron
    Jeune merle à plastron - Mireille Coulon - PNE
    Faune

    Merle à plastron

    Il s'identifie facilement car, s'il endosse le plumage du merle noir, il s'en distingue par sa grosse bavette blanche sur la poitrine et des liserés clairs sur les plumes des ailes et du ventre. Ce merle de montagne, farouche, au vol rapide, habite les lisières des forêts de mélèzes, de pins sylvestres, d'épicéas et de pins cembros, de 1000 à 2500 m d'altitude.

  • Poule tétras lyre branchée
    Poule tétras lyre branchée - Christophe Albert - PNE
    Faune

    Tétras lyre

    Présent dès 1200 m d'altitude, le tétras lyre ne se rencontre en France que dans les Alpes. On repère le mâle à son plumage noir et à sa queue en lyre qui a donné son nom à l'espèce.Tandis qu'en hiver il passe le plus clair de son temps réfugié dans des igloos creusés dans la neige pour se protéger du froid, au printemps le mâle se livre à des parades spectaculaires pour attirer les poules.

  • Orpin des infidèles
    Orpin des infidèles - PNE
    Flore

    Orpin des infidèles

    Il est des plantes qui se traînent à vos pieds et d'autres qui s'élèvent vers les cieux. L'orpin des infidèles fait partie des premières. Ses feuilles épaisses forment de petites rosettes éparses entre les blocs de rochers du grand éboulis sur lequel serpente le sentier. Ses nombreuses petites fleurs d'un rouge vineux sont rassemblées au sommet de la tige.

  • Flore

    Eboulis

    Pour le botaniste, les éboulis sont une mosaïque de milieux bien contrastés et finement enchevêtrés. Des plantes issues des milieux environnants se partagent ce territoire, profitant des moindres îlots d'humus. On distingue les éboulis grossiers, définis par leur stabilité, des éboulis fins qui sont mouvants en raison des éléments les plus petits (graviers, sables, limons).

  • Apollon sur rhapontique scarieux
    Apollon sur rhapontique scarieux - Cyril Coursier - PNE
    Faune

    Apollon

    L'apollon est un grand papillon protégé, d'une blancheur translucide parsemée de taches noires avec quatre ocelles d'un rouge lumineux. Il a besoin de la chaleur du soleil pour voler. Qu'un nuage passe et il se pose sur un chardon ou quelque centaurée dont il appréciera le nectar. Fermeture des milieux et hivers anormalement chauds ont entraîné sa disparition de certaines régions françaises. A défaut, il semble élire domicile dans les éboulis rebelles à tout boisement dense.

  • Gentiane ponctuée
    Gentiane ponctuée - Christophe Albert - PNE
    Flore

    Gentiane ponctuée

    La gentiane ponctuée, tout comme sa grande sœur la gentiane jaune, se reconnaît à son port altier et à ses fleurs jaunes. Ces dernières présentent toutefois la différence d'être tachetées de marron et situées à l'aisselle des feuilles. Poussant par petits groupes, cette gentiane s'étend des Alpes aux Carpates et colonise les éboulis en compagnie de toutes les espèces amatrices de pierres et d'espace.

  • Polystic en forme de lance
    Polystic en forme de lance - Bernard Nicollet - PNE
    Flore

    Polystic en forme de lance

    Cette fougère élancée, raide et coriace, affectionne particulièrement les éboulis grossiers où elle prend pied dans les anfractuosités fraîches que les blocs et rochers entremêlés lui ménagent. Au Moyen Âge, elle était considérée comme une plante particulièrement bienfaisante pour l'homme. Capable de guérir toutes les affections, elle était également nantie d'un véritable caractère divin : là où elle pousse, la foudre et le tonnerre ne peuvent frapper, et le Diable lui-même est mis en déroute.

  • Cincle plongeur dans la neige
    Cincle plongeur dans la neige - Christophe Albert - PNE
    Faune

    Cincle plongeur

    Trapu, queue courte, bec effilé, le cincle plongeur est souvent perché au milieu du torrent, sur un bloc au ras de l'eau. Reconnaissable à sa tache blanche du menton à la poitrine et au reste de son plumage entre roux et gris ardoise, cet oiseau plonge dans les eaux glacées à la recherche de larves aquatiques qui constituent l'essentiel de son menu.

  • Pouillot de Bonelli
    Pouillot de Bonelli - Mireille Coulon - PNE
    Faune

    Pouillot de Bonelli

    Ce petit passereau commun est rarement vu mais souvent entendu. Il est l'interprète d'un chant de quelques secondes, d'une dizaine de notes répétitives, qui devient rapidement identifiable, voire obsédant. Le mâle chante presque toute la journée d'avril à juin, puis seulement le matin en juillet. L'orage s'éloigne et les arbres s'égouttent, qu'il recommence déjà à chanter. Fin août, mâles et femelles partent pour les savanes arborées africaines, suivis par les jeunes de l'année.

  • Grimpereau des bois
    Grimpereau des bois - Mireille Coulon - PNE
    Faune

    Grimpereau des bois

    Le grimpereau des bois est un petit oiseau compact et agile. Son bec est long et recourbé, sa queue constituée de plumes raides. Ses longs doigts sont pourvus d'ongles acérés. Autant d'adaptations à l'exploration des écorces des mélèzes dans lesquelles il chasse insectes et autres araignées qui constituent son régime alimentaire tout au long de l'année.

  • Deux chevrettes du printemps
    Deux chevrettes du printemps - Jean-Philippe Telmon - PNE
    Faune

    Chevreuil

    Caché dans les bois de mélèzes, le chevreuil montre parfois sa fine tête à l’aube et au crépuscule. Pas toujours aisé de voir cet animal discret mais quelques traces peuvent trahir sa présence tels l’empreinte en forme de cœur de ses frêles sabots ou les troncs d’arbustes écorcés par le frottement des jeunes bois du brocard pour en ôter les derniers lambeaux de velours. Et parfois, c’est un aboiement sonore et guttural qui résonne dans le bois.


Profil altimétrique


Zones de sensibilité environnementale

Le long de votre itinéraire, vous allez traverser des zones de sensibilité liées à la présence d’une espèce ou d’un milieu particulier. Dans ces zones, un comportement adapté permet de contribuer à leur préservation. Pour plus d’informations détaillées, des fiches spécifiques sont accessibles pour chaque zone.

Aigle royal

Nidification de l'Aigle royal

Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec l'Aigle royal en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone !

Attention en zone cœur du Parc National des Écrins une réglementation spécifique aux sports de nature s’applique : https://www.ecrins-parcnational.fr/thematique/sports-de-nature

Domaines d'activités concernés :
Aerien, Manifestation sportive, Vertical
Périodes de sensibilité :
janv.févr.marsavr.maijuinjuil.août
Contact :
Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr

Recommandations

Pour la montée à la Bosse de Clapouse, compter environ 2h30 A/R, depuis la passerelle.
En coeur de parc
Le Parc national est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est nécessaire de connaître pour préparer son séjour.


Lieux de renseignement

Maison du Parc de Vallouise

, 05290 Vallouise

http://www.ecrins-parcnational.fr/vallouise@ecrins-parcnational.fr04 92 23 58 08

Information, documentation, maquette, expositions, projections, vente des produits et ouvrages du Parc. Visites guidées pour les scolaires, réservation obligatoire. La nouvelle Maison du parc a ouvert à Vallouise depuis le 1er juin et propose aux visiteurs une exposition permanente interactive invitant à la découverte du territoire et de ses patrimoines. Un espace d'exposition temporaire permettra une offre renouvelée. Enfin,le dispositif est complété par une salle audiovisuelle permettant d'organiser projections et conférences Entrée libre. Toutes les animations du Parc sont gratuites sauf mention contraire.

En savoir plus

Source

Parc national des Ecrinshttps://www.ecrins-parcnational.fr

Signaler un problème ou une erreur

Vous avez repéré une erreur sur cette page ou constaté un problème lors de votre randonnée, signalez-les nous ici :


Actualités sentiers